Un depart et ca repart!

Voila, je suis partie il y a 2 jours et je suis toujours vivante, donc vous pouvez arreter de me harceler de coups de telephone et de textos*.

Contrairement a ce que je croyais cette fois, nous n'avons pas loupe notre correspondance. Mais en fait, j'en etais convaincue au fond de moi, puisque je sais toujours tout et que j'ai toujours raison.
Il faut dire, cependant, que nous etions un peu rodees cette fois. Des l'ouverture des portes de l'avion, on a commence a courir comme des tarees, a moitie pliees sous le poids de nos bagages-cabines. Notre marathon n'a pourtant pas dure tres longtemps. Non pas parce qu'on a appris que notre avion avait du retard**, mais parce que notre petit coeur non-sportif avaient un peu du mal a suivre notre corps non-entraine qui avait egalement du mal a suivre notre volonte. On a quand meme reussi a traverser l'aeroport en moins de 15 min, exploit s'il vous plait, cela merite quelques applaudissements.
Bon, a la porte d'embarquement, la ou on a appris qu'on aurait pu prendre notre temps parce que l'avion avait plus d'une heure de retard, on avait un peu l'air de deux chevaux de courses morts essouffles et crachant du sang. Mais au moins, on a eu notre vol.


A notre arrivee a Birmingham, on a pu constater que rien n'a change. Le ciel est toujours aussi gris. Les maisons toujours aussi petites. Les rues toujours aussi monotones. Et le choc culturel est toujours le meme.


*ha ha ha, comme je suis ironie!
** ca, on l'a appris a la porte d'embarquement...