Tea-time, grains de sel et sucre roux

A ne pas mélanger, le résultat serait plutôt imbuvable. Par contre, moi, je ne vais pas me priver de passer d'une chose à l'autre si ça m'amuse... comme du coq à l'âne par exemple. Ou whatever.

13 juillet, 2006

Au cas où vous vous souciez de moi,

Je vous rassure: je suis bien arrivée chez mes parents, hier soir, après quelques 50 000 heures passées dans bus, eurostar et train. Et pis si c'est pas en vrai 50 000 heures réelles, ça y ressemblait tellement que je reconsidèrerais un peu notre système à mesurer le temps si j'étais ingénieure en horloge.
J'ai pu ramené mes 50 000 bagages, qui étaient en fait 2 énormes valises remplies à crac, 1 sac de rando rempli à crac, 1 sac à dos rempli à crac, 1 énorme sac à main rempli à crac et un petit bagage à main. Tout ça, c'est grâce à la main d'oeuvre qui est venue me rendre visite la semaine dernière, sinon, bah, je sais pas si j'aurais pu rentrer tout court, puisque le jeune fils-à-papa parisien qui m'a aidé à porter ma valise aux escaliers gare du Nord/ gare de l'Est a lui-même découvert que je transportait en fait un cadavre en morceaux. Ce qu'il ne sait pas, c'est que je l'avais congelé pour qu'il soit encore plus lourd et lui fasse mal au dos.


Avec mon retour, retour des questions débiles!

Alors, ça fait quoi de rentrer à la maison?
Grumpf, c'est pas ma maison à moi. D'abord. Et tu veux savoir ce que ça me fait, hein? hein? Ca me fait chier. Et ces questions là aussi elles me font chier.


Sinon, je réapprends à apprecier, ou non, la chaleur. J'avais presque oublié le sens de ce mot, mais j'avais aussi oublié que je l'avais oublié. Ca m'a fait un choc. Thermique et linguistique. Chaleur, c'est étouffant.


Et pour finir, parce que le retour aux claviers français est toujours délicat donc je ne m'éternise pas, j'ai eu ma licence avec une moyenne de 15. C'est ça de partir la faire en Angleterre, soyez pas trop jaloux. Enfin, si, saoyez jaloux. Mais ne soyez pas méchants.

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