Tea-time, grains de sel et sucre roux

A ne pas mélanger, le résultat serait plutôt imbuvable. Par contre, moi, je ne vais pas me priver de passer d'une chose à l'autre si ça m'amuse... comme du coq à l'âne par exemple. Ou whatever.

30 juin, 2007

Jardinage

Se faire couper l'herbe sous le pied, ce n'est ni agréable, ni productif.
Bon, ce n'est pas très douloureux non plus : pas besoin d'une tronçonneuse ou d'une scie électrique pour le faire, vous voyez, des ciseaux, ça suffit amplement. C'est fou comme c'est petit et ridicule, un brin d'herbe. Et même si il est inévitable de blesser un tant soit peu le pied posé sur le brin d'herbe, les ciseaux qui le coupent ne font pas de blessures de guerre non plus. Pas douloureux, donc.
Par contre, ça irrite. C'est vrai quoi, ça gratte une éraflure. Même quand c'est une éraflure de ciseaux. Prenez les coupures de papier, par exemple (papier / ciseaux / éraflure / coupure / association d'idées) : c'est super irritant, bien que plus supportable qu'une amputation à vif du bras à la tronçonneuse. Pas besoin d'appeller Doug, en gros. Même si on a envie. Et les éraflures (ou les coupures, si vous prenez du papier), quand ça irrite, ça énerve. Et ça met de mauvaise humeur. Et alors on gratte. Et ça saigne. Là, ça fait un peu mal. Les méchantes bactéries se mêlent à votre hémoglobine toute faiblarde, ça piquotte, mais, heureusement, Capitaine Pierrot, à bord de son lymphosite B, est là pour les combattre. Et donc, ça cicatrise. Et ça re-énerve. Parce que ça re-gratte. Mais moins, quand même. Et puis on oublie un peu, pas grave quoi, rien qu'une petite éraflure de chochotte.

Mais franchement, si j'avais su qu'une coupeuse se trouvait sur ma pelouse, bah j'aurais couru un peu plus vite plutôt que de profiter de ma balade. Salope.

23 juin, 2007

J'ai pas envie d'en parler, mais j'ai quand-même envie de vous mettre vaguement au courant.

Il y a quelques temps, un bloggeur m'a appris, via son blog plus trop mis à jour (un peu comme à tous, quoi) qu'un bon moyen de déceller un message subliminal sans se faire tirer le tarot, c'est d'écouter la radio. C'est marrant, parce que le bloggeur en question ne sait probablement pas que j'ai retenu ça de son long post, et il ne sait pas non plus que je l'ai réutilisé. C'est drôle, internet.

Bon, bref, je me suis entraînée à écouter la radio pour acquérir un deuxième niveau de lecture, et ça marchait pas mal, en effet. Presque aussi bien que le tarot. Nan, mais faut savoir que moi, je veux toujours tout comprendre. Tout. Et tous les moyens sont bons. Tous. Même la radio. Apparemment, le fait que je m'appelle Clémence joue un tantinet dans ma résignation à comprendre tout sur tout. AsiaFlashCenter semble le dire, en tout cas. Alors si AsiaFlash le dit, hein, c'est certainement vrai. Je veux dire, c'est quand-même un site d'astro internet, ils savent ce qu'ils disent. Mais je suis un peu déçue, toutefois... c'est vrai, quoi, ils ne m'ont pas appris grand chose dans mon après-midi de traine sur internet : je savais déjà, d'une que je m'appelle Clémence, de deux que je veux tout comprendre.

Bon, bref (ça fait deux paragraphes qui commencent par "Bon, bref" clémence, pense à être plus originale la prochaine fois... ou plus directe, aussi), plutôt que d'écrire tout un long post impossible à rédiger, impossible parce que moi-même je ne comprends plus rien à mes histoires qui ont suplanté Dallas depuis longtemps, je vais me contenter de lister ce qui est passé cet après-midi à la radio, sans tricherie, tout à la suite (meilleurs morceaux choisis, ceci-dit). Ca s'appelle faire naître le suspens.
Et non, vous n'en saurez pas plus pour l'instant. Trop compliqué. J'ai pas trop envie d'en parler. Sauf avec l'intéressé qui semble avoir commander les playlists d'Europe2 et RTL2 à distance.


Si je ne suis pas l'homme que tu attendais, laisse moi un message, sait-on jamais...
Goodbye my lover, goodbye my friend.
Andy se tâte, Andy se méfie, est-ce qu'il a envie?
Anyway you want to, anyway you've got to, love love me, love love me, love love.
Ne partons pas fâchés, ça n'en vaut pas la peine tu sais, nan nan, bien sur que je te trouve très belle.
You're so unbelievable.
I can't get no satisfaction. No satisfaction.
Et moi je suis un homme qui aime bien ce genre d’enjeu... Je ne veux pas qu’elle s’assomme car j’en suis tombé amoureux.
Love me love me, say that you love me, fool me fool me, go on and fool me.
Si la vie est un jeu, lequel de nous deux est celui qui chante ? Si on s'eclipse ce soir, on le sait tous les deux, on se laissera porter comme dans nos rêves.


Lu comme ça, en fait, ça ressemble un peu à rien. Mais dans ma tête, ça ressemble à plus que rien.