Tea-time, grains de sel et sucre roux

A ne pas mélanger, le résultat serait plutôt imbuvable. Par contre, moi, je ne vais pas me priver de passer d'une chose à l'autre si ça m'amuse... comme du coq à l'âne par exemple. Ou whatever.

31 décembre, 2006

Et Bonne Année.

Pas très original, comme titre, mais parfois, un titre banal vaut mieux qu'un long discours.

Alors, vous avez tous des petites fêtes de prévues pour ce soir? Tant mieux. Moi peut-être, on verra bien. Si oui, tant mieux, sinon, je ferai la fête un autre soir, j'en mourrais pas.

Ouais, je suis comme ça moi, je me force pas à avoir un truc à tout prix pour le réveillon. J'ai juste pas envie que les gens me regardent comme une extra-terrestre quand je dis que je suis restée chez moi, ce qui m'est déjà arrivé quelques fois.
Une chose que je n'ai jamais compris au réveillon du Nouvel An, c'est le compte à rebours.
Enfin, si, j'ai compris. Je vous rappelle que je suis plutôt intelligente, quand-même. On compte de 10 (ou 5, selon les traditions) à 0 pour arriver à 0 sur le coup de minuit, et à ce moment-là, tout le monde se souhaite une bonne année et s'embrasse et trinque. Youpi. On est heureux, on a compté, c'est trop chouette.
Je vois pas pourquoi on en fait tout un plat. On a compté jusqu'à 10 à l'envers, ouais c'est cool on révise ses maths, et alors? Contente que ça donne du bonheur à certains, mais je comprends pas la grosse affaire*. On est passé d'une seconde à une autre. Pour peu que notre horloge (ou montre, selon les traditions) ne soit pas calée à l'heure pile et exacte, on loupe tout le symbolisme qui est censé s'en dégager, et ça ne veut plus rien dire.
Hop, au 1, on est encore en 2006, et au 0, on est en 2007. A moins que l'on ne soit en 2007 que après le 0, ce qui rend enfin la question intéressante puisque le 0 est alors coincé entre deux années sans que ni l'une ni l'autre ne veulent de lui.

Autre chose osbcure des festivités de la St Sylvestre: les résolutions. Evidence que la plupart des gens sont de vrais naïfs, persuadés, parce qu'une année nouvelle commence, qu'on peut recommencer sa vie à zéro. Alors, les gars, je vous explique: les résolutions, vous pouvez les prendre absolument quand vous voulez, personne ne vous en voudra. Et si vous attendez le réveillon, à mon avis, c'est que vous vous reposez un peu trop sur cette année où vous n'avez pas encore mis les pieds**, et que une fois un pied posé dedans, vous en ferez partie, et vos résolutions ne tiendront pas, parce que même si vous êtes en 2007, vous êtes toujours le même qu'en 2006 la seconde d'avant.
Il n'y a qu'une seule résolution que j'ai réussi à tenir. Je l'ai prise, je sais pas, il y a peut-être 3 ou 4 ans, parce que tout le monde déclarait ses résolutions et que je me sentais un peu exclue de ne pas en avoir. C'était: je ne prendrai plus jamais de bonnes résolutions. Un peu paradoxal puisque je l'ai tenue.


Ceci mis à part, j'aime l'idée de fond du réveillon: faire la fête et manger de la bonne bouffe. Que ce soit pour le réveillon ou pour la St Whenever.


Titre banal et pas de longs discours. J'aurais peut-être dû appeller ma note What's the big deal?.


Demain, je vous ferai vos horoscopes.


*oh, ça va, big deal, grosse affaire, tout le monde gets it.
** ou les piè, selon la tradition vosgienne

27 décembre, 2006

J'espère que vous avez passé un joyeux Noël et que vous avez été gâtés.

Moi oui, ça va. Je suis contente.
J'ai eu un beau lecteur MP3, une écharpe tricotée par ma soeur et des gants qui vont avec, un CD de Norah Jones, un DVD, un livre de recettes tirées de romans, Dr. Jekyll et Mr. Hyde en anglais, Elmer et Walter annoté, Mme Petite, et Le Petit Nicolas inédit volume 2. J'ai pas compris tous les cadeaux: par exemple, j'ai pas trop compris pourquoi Dr. Jekyll et Mr. Hyde. Par contre, Mme Petite, j'ai compris tout de suite, et j'ai bien aimé.
J'ai aussi appris en avant-première que M (le chanteur) avait lâché sa femme pour se mettre avec Audrey Tautou, qui, elle, se fait draguer à mort par Gad Elmaleh, et qu'elle avait reçu 20 millions de dollards pour The DaVinci Code et que grâce à ça (mm..) elle a pu prêter des sous à sa petite soeur Bathilde pour qu'elle puisse faire son inscription à sa fac privée*.
Je ne vous dévoilerai pas mes sources, mais mes cousines étaient là, et, vous voyez, les cousines, quand ça se retrouve, ça papote, en général même c'est pire que les soeurs, et on apprend tous les potins de Paris, surtout si vous avez la chance d'avoir une cousine qui est amie avec le cousin de la Tautou. Oups.



Bonne bouffe. Bon champagne. Bons potins. Bons cadeaux. Bon réveillon. Bon réveil. Bon Noël. Moi fille simple. Rien demander de plus. Moi contente.
Dommage que fini maintenant. Attendre encore un an.
Pas aimer attendre. Long. Chiant.
Ta gueule.




Registre tout-à-fait différent, sans aucun rapport:
Je suis allée faire un tour sur le site Socrates, et je me suis dit "oh, je pourrais peut-être mettre mon témoignage, ça serait trop funny, et je deviendrais amie plv avec tous les anciens erasmus trop kikoo lol mdr!". Je cherche la page "témoignages". Et voilà sur quoi je tombe. Accrochez-vous bien**.


Si vous regardez un peu les témoignages choisis (je vous conseille particulièrement Karine de Belgique une fois, Corinne de France, Sveinn d'Islande, et Rosen de Bulgarie), vous vous demanderez certainement (comme je me le suis demandé) si les webmasters n'ont pas décidé de changer les témoignages pour les adapter à la saison.
Saison de Noel = on fait pleurer dans les chaumières avec des histoires toutes plus belles les unes que les autres. Presque aussi bien que Les Quatre Filles du Dr. March, mais pas tout à fait***.


Je leur proposerais bien mon témoignage pour le 31 décembre. Genre, le moment bilan où chacun constate que, malgré les 365 jours qui se sont effectivement écoulés, rien n'a vraiment changé.
Roh, je ne devrais pas commencer à jouer l'amertume, après tout, le Nouvel An, c'est que la semaine prochaine. Je peux bien attendre jusque là.




*oh, merde, je viens de pourrir leur tranquille petite vie familiale en dévoilant tout sur le net. Nan, mais franchement, Bathilde? Et pourquoi pas Glémence?
** oui, parce que comme je viens de l'écrire, moi, je suis tombée.
*** vendredi aprem, personne ne me dérange, ni moi, ni ma télé, ni mon plaid, ni mon canapé.

22 décembre, 2006

C'est que ça m'éclate ces petits dessins!

J'en ai trouvé un pas mal sur le site, alors je l'ai copié m'en suis inspiré pour celui-ci.

Et j'ai aussi un magnifique Rudolphe à vous proposer.

A ce rythme là, l'an prochain, je vous ferais certainement un calendrier de l'avant.

20 décembre, 2006

Ah, les réjouissances de fin d'année, j'adore!

Même si on a un peu de mal à s'en rendre compte, Noël, c'est tout bientôt. Tellement bientôt, même, que dans une semaine, Noël sera passé. Fini. Over. Il faudra attendre quelques 360 jours pour que ça recommence.
Cadeaux déballés, et papiers-cadeaux déchirés, froissés, jettés. A cette heure-ci, la semaine prochaine, vous serez sûrement en train de cuver, ou bien au régime, ou en train de faire la queue dans les magasins pour échanger cette énième cadeau qui ne vous plaît pas/ que vous avez déjà, ou encore en train de rassurer votre mère que vous a-do-rez son cadeau mais simplement, c'est dommage, ça va pas avec ce que vous portez d'habitude (!). La magie de l'après-Noël. Ou pas.

Comme chaque année, Noël apporte son lot de réjouissance. Un peu plus que chaque année, j'aurais tendance à dire.
Les cadeaux, ça reste du même ordre. Deux scénarios, plus un troisième tellement rare que je ne le considère pas vraiment.
scénario 1: quand j'ai déjà une idée de cadeau. Alors, la plupart du temps, je ne trouve pas. Je fais 10 000 magasins pour trouver ce que j'avais en tête, et comme je ne trouve toujours pas, au bout de 10 000 magasins, je commence un peu à perdre la tête. Ca se comprend, hein. Je retourne donc au premier magasin visité et finis par prendre n'importe quoi. Je suis tellement énervée que j'oublie de demander un emballage, et je me retrouve chez moi à essayer de faire tenir ce bout là avec un bout de scotch qui scotche pas, et le cadeau finit en papier-poubelle. Je suis pas très douée avec un rouleau de scotch.
scénario 2: je n'ai pas d'idées. Scénario guère plus rassurant: je me promène dans les rayons. La première demi-heure, c'est du genre "oh c'est joli!", "ça, ça pourrait lui plaire", ou encore "bon, ça me paraît pas trop mal si j'ai rien tout à l'heure". Au bout de 50 000 rayonnages, c'est devenu "putain, je trouve pas", "en fait, je sais pas, je me demande si je connais vraiment ses goûts au fond.. aaaah, je doute, j'aime pas!!" et "ça fait 3h que je tourne en rond et résultat des courses: j'ai rien, je perds la tête, j'ai chaud, y a plein de monde, j'aime pas ça".
Dans les deux cas, moyennes, les réjouissances donc. Il arrive quand même que je trouve tout-de-suite (scénario 3). En général, c'est au mois de novembre. Il n'est jamais trop tôt pour commencer.

Deuxième réjouissance des fêtes de fin d'année: le boulot, les partiels, les exams, les dossiers, tout ce qui est moins fun et, en plus, qui passe encore moins bien avec du champagne.
Cette année, je dois dire que je suis bien gâtée. Mmh, comment dire.... j'ai simplement une montagne de trucs à rendre/faire/réviser/commencer/avoir fini pour le 15 janvier. La montagne, ça vous gagne pas toujours. Ahah.

Conséquence de cette charge inhabituelle de travail: je passe mes soirs devant mon ordi. A taper mes devoirs, bien sûr. Tout en étant connectée à msn. Mais il m'arrive quand même de bosser vraiment. Parfois même, prise dans un entrain de motivation, je décide de goûter devant mon ébauche de problématique, histoire de ne pas perdre trop de temps à goûter devant la télé - puisque le goûter devant la télé s'enchaîne généralement avec Questions pour un champion, qui s'enchaîne à d'autres trucs, puis c'est l'heure du repas, et puis c'est le film du soir, et j'ai pas bossé un poil.
Et si je suis vraiment vraiment motivée, je m'en rends compte tout de suite: alors que j'étais en train de taper un truc super intéressant - comme tout ce que j'écris - , je m'aperçois très déçue que mon goûter s'est fini tout seul. Imaginez-vous la scène: vous mangez tranquillement vos tartines de nutella, seule petite touche agréable du moment que vous êtes en train de vivre. Et puis, tout à coup, vous tendez la main vers votre assiette... et il ne reste plus rien. Sans le savoir, vous avez avalé votre dernière bouchée, généralement la meilleure puisque la dernière, sauf que là, vous l'aviez mangée sans en avoir conscience, et elle avait au final le même goût que les autres. Nul. Et votre tasse de thé. Vous aviez oublié que vous aviez une tasse de thé. Il est froid maintenant. C'est dégueulasse du thé froid, et ça l'est encore plus quand c'était du thé au lait à la base. Ouais, mais ça m'arrive souvent quand je m'applique vraiment à mon boulot. Par contre, c'est rare que je m'applique vraiment à mon boulot.


J'aime bien Noël, quand-même. Même si ça serait encore mieux sans tout ça.



Joyeux Noël bande de lecteurs!

18 décembre, 2006

Gla

Je me les pèle.

Voyez-vous, en ce moment-même, je devrais me trouver à la BU en train de travailler. Seulement, la salle de recherches de la BU - pour les non-habitués, comprenez: la seule salle suffisamment silencieuse pour qu'on puisse y bosser - n'a pas été rénovée depuis sa construction dans les années 60... ou au 12ème siècle. Il y fait un peu -10 000°C toute l'année.
Après tout, ça évite à la fac de dépenser inutilement en clim l'été. L'hiver, par contre, je vous avoue qu'un peu de chauffage serait le bienvenu.

Tout ça pour dire que, finalement, je ne suis pas à la BU, je suis restée chez moi. Avec ma robe de chambre en pilou molettoné*, des chaussons de Sibérie doublés au poil de yack, et ma couverture énorme en polaire inuit qui me tient tellement chaud la nuit que je ne dors que très rarement avec.
Et j'ai froid.
Pourtant, chez moi, c'est pas la BU ni le donjon de Barbe bleue: non seulement c'est isolé, mais en plus, on chauffe, et, comble du comble, les radiateurs marchent.

J'ai décidé de limiter les dégâts polaires en évitant la BU, mais je vais quand-même tenter de bosser chez moi, devant l'ordinateur, comme une étudiante sérieuse qui prend son avenir en main. Par contre, si mes doigts décident de se transformer en glaçons, ça risque d'être mission impossible. On dira pas que c'est de la mauvaise volonté.


*"pilou" ou "pylou", je sais pas, en le tappant sur google, j'ai soit des bloggs de jeunes mémés comme moi, soit des profiles d'ados pisseuses en manque d'affection.

16 décembre, 2006

Comment occuper son samedi

Grande Nouvelle! artpad.art.com est de retour après de longs mois d'absence.

C'est en relisant mes vieux posts que je m'en suis aperçu...
Relire ses vieux posts, activité très productive de rien-foutisme sabatale.

Evidemment, le retour d'artpad, je le vis un peu comme un jardin ouvert* à l'expression de mon esprit artistique et créateur. J'ai donc passé quelques heures -ou quelques bonnes vingtaines de minutes- à la conception d'une oeuvre que je vais vous livrer, et quelques autres heures -sincèrement- à effectuer ce que j'y décris.


Plus j'ai de choses à faire, plus je cherche d'autres choses qui me permettront d'y échapper. Si vous ne saviez pas comment occuper vos samedis, vous pouvez toujours prendre exemple sur moi. Je suis exemplaire.


Enjoy!


*les métaphores débiles, c'est la faute à Omhovère**.
** il me fait chier son -h, je sais jamais où le placer.

13 décembre, 2006

La Boite à idées

Entre une prise de racine à la BU, du décollage de papier peint, quelques heures à taper ma bibliographie, rechercher les prénoms qu'il me manque, trouver comment présenter mon émission radio, et un faible essai d'ébauche de problématique, je ne vous apprendrais rien en vous disant que je trainasse sur internet.

Ce qui est nouveau, par contre, c'est que je trainasse en pensant un peu à mon avenir. Notemment au mois de mai 2007. Comme chaque année, le mois de mai marquera mon anniversaire. Alors ça, je me suis un peu faite à l'idée: à chaque mois de mai, je prends une année de plus, pas très suprenant, l'avenir! Mai 2007 marquera une toute autre chose, qui risque de me prendre un peu la tête : décider pour quel futur président voter. Je vous avoue, ça me prend déjà la tête, cette pseudo-pré-fausse-campagne-camoufflée. Mais je me suis laissée avoir par leur élan médiatique.

J'ai été voir ce qui se trame sur Désir d'Avenir. Ca change des skyblogs!
Passons le titre ridicule, on mettra ça sur le compte de la démagogie. Passons aussi le discours de la cruche. Par contre, arrêtons-nous un moment sur les débats dits "participatifs". En gros, si c'était un skyblog, on dirait juste des commentaires. Mais là, on dit débats participatifs. Avec un peu de chance, on peut tomber sur une remarque pleine de bon sens, juste, simple et perspicace. Un peu de chance,... nan, beaucoup en fait. La plupart des commentaires sont à côté de la plaque à un point affligeant.

De certains qui se lamentent que les TPE n'aurait jamais dû faire partie du programme du bac, que ç'aurait été bien plus pédagogique d'en faire un simple projet non noté. Attendez, les gars, le seul et unique avantage du TPE, c'est le coeff 2 du 17! On s'en fout de faire un TPE pour faire un TPE, des recherches pour les recherches, de la méthodologie pour la méthodologie. Qu'on me trouve un seul élève qui soit volontaire pour écrire un TPE, comme ça, pour l'amour de l'art. Ce serait comme m'annoncer qu'après mon mémoire, je n'aurais pas mon diplôme de Master, aucune reconnaissance pour ce travail de deux ans, mais par contre, un beau mémoire relié que je pourrais lire le soir, pour le fun, et admirer à quel point mes notes de bas de pages sont jolies, et ma bibliographie tellement artistique. On s'organisera même des petites expositions de mémoires où on s'enthousiasmera devant ce mémoire-ci ("oh, quel merveilleux usage des citations!") et cet autre-là ("comme l'argumentation est bien menée!").
D'autres qui, décidément rassurés d'imaginer une femme au pouvoir, essaient de vous convaincre que parce que c'est une femme, ce sera mieux. Parce que, voyez-vous, les hommes sont sournois et magouilleurs. Par contre, les femmes, elles, ne seraient pas manipulatrices. Eh bah les gars -ouais, parce que c'est des mecs qui disent ça- vous n'avez décidément rien compris aux femmes. En même temps, c'est aussi bien pour nous. Du jour où ils auront capter nos manipulations, on perdra le peu de choses qu'on peut gagner.

Bon, j'ai un peu hésité à mettre cette note en ligne (de toutes façons, vu sa longueur, je suis sûre qu'aucun de vous ne la lira en entier), parce que les débats politiques ont tendance à m'énerver un peu ces temps-ci, et j'ai franchement pas envie que mon blog se transforme en café du commerce. Mais on peut pas dire que ce soit une note franchement politique... justement d'ailleurs. Nan, je suis simplement aberrée par les âneries qui se disent. Et par les gens qui les disent, souvent entièrement convaincus qu'ils possèdent le Savoir et la Toute Connaissance. Plus cons que vaincus, moi je dirais, hein.

05 décembre, 2006

Si vous voulez faire une bonne action pour le téléthon,

je me produis avec l'orchestre étudiant jeudi 7 décembre à 20h30 à l'église Saint-George (entrée gratuite mais participations acceptées... j'imagine)*.
Vous me reconnaitrez, je serai habillée en noir et blanc.

Par contre, je ne vous garantie pas de pouvoir m'entendre puisque :
1- la faible dizaine de flûtes est tout au fond derrière le petit million de violons
2- il y a beaucoup de morceaux où on ne joue que quelques blanches, ou quelques noires.
3- quand il y a matière à jouer, ça devient trop dur et je ne joue pas.

Je ne vous force pas à venir non plus. Juste au cas où vous voudriez sortir sans savoir quoi faire. Vous risquez de croiser mes parents.

*Ouais,
je me produis et non pas l'orchestre étudiant se produit. Parce que c'est mon blog et ma vie.